Cette semaine, la station Jean-Drapeau. Amener sur l’île Notre-Dame 50 millions de visiteurs en 6 mois, tel était le défi à relever en mobilité lors de l’exposition universelle de 67! Aurait-ce été possible sans métro? Découvrez la petite histoire autour de cette station incontournable du réseau.
Invité(es) : Nicolas Bednarz Paul-Éric Dumontier Jean-Marcel Dumontier Roger Laroche Isabelle Riendeau Luc Turcot Veronica Vendittelli Benoît Clairoux
Pour une deuxième saison, Le métro voyage dans le temps vous transporte dans les coulisses du métro de Montréal afin de vous faire découvrir sa riche histoire. Chaque émission présente les impacts de la construction des stations sur le quartier environnant ainsi que son évolution à travers les années. La visite des stations et de leurs mondes intérieurs uniques permet d’aller à la rencontre des architectes, des urbanistes, des historiens et des artistes qui ont laissé leur marque dans le métro.
Véronique Sénosier Roberge est native de Trois-Rivières mais Montréal est sa véritable ville d’adoption. Son cheminement de carrière sinueux et tout en contraste lui a permis de s’épanouir dans divers milieux. Récipiendaire de la Bourse du programme étudiant pour le développement de l'Association des Universités et Collèges du Canada en 2010, elle a travaillé avec divers organismes non gouvernementaux pour former, en comptabilité et marketing de base, des femmes ayant accès à du microcrédit, à Chennai, en Inde.
Julie Allard est historienne et Montréalaise d’adoption. Sensible tant au passé qu’au devenir de la métropole, elle a eu envie de découvrir le métro de Montréal et de réfléchir à son insertion dans les différents quartiers de la ville. Alors qu’on discute des projets de transport collectif qui façonneront la ville de demain, elle souhaite mettre en valeur le patrimoine exceptionnel du métro et faire découvrir les lieux d’urbanité qu’il crée.
Julien Puget est historien et cartographe. Mais il aurait tout aussi pu être géographe, tant l’espace urbain le fascine. Adepte d’une mobilité douce et collective dans les villes, l’histoire du métro est un moyen pour lui de comprendre comment les habitants s’approprient les quartiers qui forment leur Cité. À l’heure où « l’auto-solo » n’a plus sa place dans nos centres-villes, il souhaite souligner la richesse et la beauté du réseau Métropolitain montréalais, son histoire et son avenir.
